Sécurité : tout va bien.
Ponctualité : pas du tout. La compagnie dispose d'une flotte très réduite ; dès qu'un incident interne ou externe retarde un avion, l'effet papillon est enclenché, avec des retards ou des annulations possibles sur les vols suivants. Les voyageurs européens s'attendent au même niveau de qualité que chez eux, ça n'est pas réaliste, même si la compagnie cherche naturellement à s'en rapprocher. Les moyens ne sont pas les mêmes, les contraintes non plus.
Le bon conseil pour ne pas vivre un drame, c'est de vous dire d'arriver sur la dernière île (ie celle où vous prendrez votre vol international retour) avec 24 heures de marge ; ne tentez pas le diable en arrivant seulement quelques heures avant votre vol retour - dans 90% des cas ça marche il ne se passe rien, mais les 10% restants sont source de stress et de panique. Et je ne veux pas que les gens soient paniqués et stressés, le stress et la panique c'est mal. |